Ils ont posé le DCP en cabine.
Reconnaissons-le, l’image du réalisateur, les bras chargés de ses bobines de films les remettant au projectionniste, avait un on ne sait quoi d’intemporel, un rituel. Un passage de témoin. Le 7e Art, qu’il soit numérique ou pelliculaire, reste planter droit dans ses baskets, pour ceux qui le veulent. Il faut pour la réussite d’un film, cette identité personnelle, forte, dans laquelle se reconnaît le public. C’est chose faite, avec cette chaleur humaine et citoyenne que nous offrent Gilles Perret et Marion Richoux dans leur nouveau film. La Ferme des Bertrand. Ils nous propose une fois encore, de partager un moment rare de partage, social et humain.
Un héritage capter sur 50 ans d’images. Certains parleront d’ethnographie dans cette volonté de regrouper ces témoignages familiaux que nous proposent Pierre et Marion. Peut-être ? Laissons les chercheurs à leurs études, pour mieux écouter battre notre cœur aux rythmes des frères Bertrand, voisins de Gilles Perret, à la parole juste et aux silences pleines de mots, pour ceux qui savent écouter.
Aventure commencée en 1997 par Gilles qui filma la passation générationnelle de la ferme des Bertrand, puis en 2022, la camera reprend du service, un besoin ? Pour provisoirement conclure un cycle ?
Filmer ses voisins en Haute Savoie, potes depuis l’enfance. Filmer une ferme dans la ruralité montagnarde. Le rythme des vies, du travail, des saisons, description de l’espace de vie se limitant au permettre de la ferme. Silence et paroles justes. Ces confessions sont un don rare, et vous savez, qu’au delà des témoignages, les silences sont témoins des temps immobiles. Gilles Perret et Marion Richoux ont le pied terrien. Ils savent voguer et nous offrir cette mémoire que l’on refuse de voir. Celle de la terre dont nous sommes tous issus. La ferme des Bertrand est un film politique dans le sens le plus noble qu’il soit. Un éclairage sur la vie.
Reconnaissons-le, l’image du réalisateur, les bras chargés de ses bobines de films les remettant au projectionniste, avait un on ne sait quoi d’intemporel, un rituel. Un passage de témoin. Le 7e Art, qu’il soit numérique ou pelliculaire, reste planter droit dans ses baskets, pour ceux qui le veulent. Il faut pour la réussite d’un film, cette identité personnelle, forte, dans laquelle se reconnaît le public. C’est chose faite, avec cette chaleur humaine et citoyenne que nous offrent Gilles Perret et Marion Richoux dans leur nouveau film. La Ferme des Bertrand. Ils nous propose une fois encore, de partager un moment rare de partage, social et humain.
Un héritage capter sur 50 ans d’images. Certains parleront d’ethnographie dans cette volonté de regrouper ces témoignages familiaux que nous proposent Pierre et Marion. Peut-être ? Laissons les chercheurs à leurs études, pour mieux écouter battre notre cœur aux rythmes des frères Bertrand, voisins de Gilles Perret, à la parole juste et aux silences pleines de mots, pour ceux qui savent écouter.
Aventure commencée en 1997 par Gilles qui filma la passation générationnelle de la ferme des Bertrand, puis en 2022, la camera reprend du service, un besoin ? Pour provisoirement conclure un cycle ?
Filmer ses voisins en Haute Savoie, potes depuis l’enfance. Filmer une ferme dans la ruralité montagnarde. Le rythme des vies, du travail, des saisons, description de l’espace de vie se limitant au permettre de la ferme. Silence et paroles justes. Ces confessions sont un don rare, et vous savez, qu’au delà des témoignages, les silences sont témoins des temps immobiles. Gilles Perret et Marion Richoux ont le pied terrien. Ils savent voguer et nous offrir cette mémoire que l’on refuse de voir. Celle de la terre dont nous sommes tous issus. La ferme des Bertrand est un film politique dans le sens le plus noble qu’il soit. Un éclairage sur la vie.
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