Les films diffusés lors de lai cinquante et unième édition du Festival de la Rochelle et à Paris dans le cadre la rétrospective Le génie GUITRY
Ceux de chez nous (1915)
Le Roman d’un tricheur (1936)
Mon père avait raison (1936)
Faisons un rêve (1936)
Le Mot de Cambronne (1936)
Ils étaient neuf célibataires (1939)
Donne-moi tes yeux (1943)
Le comédien (1947)
Le Diable bouteux (1948)
Le Trésor de Cantenac (1950)
La Poison (1951)
Sacha Guitry (1885-1957) filmait les mots avec gourmandise. Titillant avec malice les images complices. 36 films et 124 pièces de théâtres. Une aventure d’auteur, dont il trempait sa plume avec délice dans une encre à l’irrévérencieuse coquetterie des gens biens nés. D’origine Russe il voit le jour à Saint-Pétersbourg – Capitale de la Russie Impériale – son parrain n’est autre qu’ Alexandre III .
Ses mots, son ton, sa voix continuent à faire mouche, comme-ci le verbe gardait l’empreinte aristocratique d’un monde en héritage. Il en joue puisqu’il est comédien, à peine force-t-il le trait pour être reconnaissable. Un intemporalité dont il est maître. Peut-être est-ce se qui en fait la modernité. Cette Liberté qui n’a pas besoin d’être écrite sur les frontons pour s’exercer. Sacha Guitry filmait comme on met en scène une pièce de théâtre et réalisait ses films en appliquant les lois des tréteaux. A la manœuvre il a tout d’un Talleyrand (Le diable boiteux – 1948 – , peut-être le film le plus personnel avec Le Roman d’un tricheur – 1936 -) Entre l’auteur, le réalisateur et le comédien on ne sait pas comment discerner ces talents si particulier qui se conjuguent au même temps. Qu’importe au font puisque les filment témoignent de ceux-ci. Remercions Les Acacias (maison de distribution) d’avoir remis en salles onze films de Guitry. (1). Une première rétrospective (une seconde est prévue) que l’on a pu découvrir dans deux cinémas mythiques de la capitale, Le Champo et le Mac-Mahon , dont Bruno Vincent, le directeur et programmateur de la salle dans laquelle JLG a tourné quelques scènes d’A bout de souffle, nous a accueilli avec l’enthousiasme de ceux dont le 7eme Art fait parti de leurs ADN.
Ses mots, son ton, sa voix continuent à faire mouche, comme-ci le verbe gardait l’empreinte aristocratique d’un monde en héritage. Il en joue puisqu’il est comédien, à peine force-t-il le trait pour être reconnaissable. Un intemporalité dont il est maître. Peut-être est-ce se qui en fait la modernité. Cette Liberté qui n’a pas besoin d’être écrite sur les frontons pour s’exercer. Sacha Guitry filmait comme on met en scène une pièce de théâtre et réalisait ses films en appliquant les lois des tréteaux. A la manœuvre il a tout d’un Talleyrand (Le diable boiteux – 1948 – , peut-être le film le plus personnel avec Le Roman d’un tricheur – 1936 -) Entre l’auteur, le réalisateur et le comédien on ne sait pas comment discerner ces talents si particulier qui se conjuguent au même temps. Qu’importe au font puisque les filment témoignent de ceux-ci. Remercions Les Acacias (maison de distribution) d’avoir remis en salles onze films de Guitry. (1). Une première rétrospective (une seconde est prévue) que l’on a pu découvrir dans deux cinémas mythiques de la capitale, Le Champo et le Mac-Mahon , dont Bruno Vincent, le directeur et programmateur de la salle dans laquelle JLG a tourné quelques scènes d’A bout de souffle, nous a accueilli avec l’enthousiasme de ceux dont le 7eme Art fait parti de leurs ADN.
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