ALICE GUY-BLACHE

L’écran noir de nos nuits blanches. Un drôle de cinéma que l’on se remémore intimement. Il nous appartient. Un nom. Une photo, une affiche. Une comédienne,  un acteur. Une grande gueule au nom oublié, mais au visage connu ou que l’on croire connaitre. Une action peut-être. Une Star qui n’en finit pas de briller. Il ne faut rien d’autre pour raviver un sentiment ancien. L’idée est simple comme un film dont vous êtes la seule, le seul à connaître l’histoire. Ce moment si particulier qui ravive vos méninges. Découvrir un cliché. Et le souvenir est là ! Révélateur d’un temps oublié.  Bon cinéma personnel ! Comme celui de la première réalisatrice Alice Guy-Blaché. Un clic pour découvrir l’article.