La belle équipe

Vous avez rendez-vous avec notre documentaire sur  Gindou et une parcelle de son histoire…

You have an appointment with our documentary on Gindou and a part of its history …

On s’en doutait un peu, mais cela fait toujours mal, de savoir que pour un an Gindou mettra la clé sous le paillasson. Pas tout à fait semble-t-il ? Il y a toujours un secret derrière la porte. Tendez l’oreille et imaginer ! N’entendez-vous pas les cerveaux de l’équipe carburer à plein régime. Il y a du Chaplin dans la survit. D’autre parleront de Capra…  La vie est belle, et les raisins de la colère ne sont pas aussi amer que le riz. La pensée cinéma ne réside pas seulement dans le plaisir de la projection, c’est également le partage, celui des souvenirs, un jour de fête, vivre pour vivre simplement. Notre Rosetta est une Marianne en souffrance comme celle de La Marseillaise. Le cœur battant, sans l’ombre d’un doute, nous entrons avec elle, en résistance. Il faut du temps à 25 images pour faire une seconde ! Il faut aux organisateurs offrir du temps aux impatients. Écrire sur le vent un conte d’automne, peut-être d’hiver comme pour mieux attendre celui du printemps et de l’été. Ainsi va le cinéma à Gindou. Projeté dans l’imaginaire d’une société en mal de respiration. Zorro a-t-il sa place ? A moins que les lucioles suffisent à nous conduire au delà des tunnels imposés. Peut-être un troisième homme pour nous guider ? Pourquoi pas une Blonde. N’est-ce pas ce que les hommes préfèrent ? Nous savons que nous devrons attendre le temps que l’Arscénic débarrassé de ses vieilles dentelles nous offre à nouveaux quelques propositions à faire pâlir nos nuits américaines. Ainsi va Gindou, en suspension dans la douceur du Lot. Comme un p’tit coquelicot, Madame.

We suspected a little, but it still hurts, to know that for a year Gindou will put the key under the doormat. Not quite it seems? There is always a secret behind the door. Listen and imagine! Can’t you hear the team’s brains running at full speed. There is Chaplin in the survivor. Others will talk about Capra … Life is Beautiful, and the grapes of anger are not as bitter as rice. Cinema thinking does not only lie in the pleasure of projection, it is also the sharing of memories, a Day of celebration, living to live simply. Our Rosetta is a suffering Marianne like that of La Marseillaise. The beating heart, without a shadow of a doubt, we enter with it, in resistance. It takes 25 frames to make a second! Organizers must offer time to the impatient. Write on the wind a tale of autumn, perhaps of winter as if to better await that of spring and summer. So goes cinema to Gindou. Projected in the imagination of a society in bad breath. Does Zorro have its place? Unless the fireflies are enough to lead us beyond the tunnels. Maybe a third man to guide us? Why not a Blonde. Isn’t that what men prefer? we know that we will have to wait until the Arscénic, stripped of its old laces, offers us again some proposals to make an American night fade. So goes Gindou, suspended in the sweetness of the Lot. Like a little poppy, madam.